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  • Recette cookies aux pépites de chocolat

    Niveau : facile Coût : € Préparation : 1h Cuisson : 10 minutes Repos : 20 minutes Moelleux et croustillant à la fois ! Voici ma recette de cookies aux pépites de chocolat super facile à faire. Petits et grands, mettez la main à la pâte et régalez-vous ! Ingrédients pour 20 petits cookies : 140g de pépites de chocolats 130g de beurre en morceaux 50g de sucre blanc 50g de sucre roux 1 œuf 180g de farine 1/2 sachet de levure chimique 1 pincée de sel Réalisation des cookies aux pépites de chocolat : Préchauffer le four à 180°C chaleur tournante. Tapisser deux plaques à pâtisserie de papier cuisson et réserver. Mettre le beurre, le sucre blanc, le sucre roux et l'œuf dans le saladier, et mélanger. Ajouter la farine, la levure et le sel, puis mélanger. Ajouter les pépites de chocolat et mélanger À l'aide de deux c. à café, formez des boules de pâte de la taille d'une noix, et les disposer sur les plaques préparées en les espaçant de 5 cm. Enfourner les plaques l'une après l'autre 10-12 minutes à 180°C, jusqu'à coloration dorée des biscuits. Laisser refroidir sur une grille avant de servir, et conserver les dans un boîte hermétique. J'espère que ces cookies vous auront fait craquer ! Dites-le moi en commentaires si ça vous a plu et n'hésitez pas à partager le résultat sur Instagram avec le #patisserieamatrice !

  • Pâques, pourquoi du chocolat ?

    On connait cette tradition, depuis tous petit on ramasse les chocolats de Pâques dans son jardin un dimanche matin d’avril. La légende raconte que le lapin de Pâques vient les déposer à l’aube. Mais pourquoi mange-t-on du chocolat à Pâques ? Voici les origines de la tradition. Si Pâques est une fête chrétienne importante, car elle célèbre la résurrection du Christ, elle occupe aussi une place particulière dans le cœur des gourmands. Tous les ans, les chocolats de Pâques viennent marquer le début du printemps pour le plus grand plaisir des petits comme des grands. En effet, il est difficile d'établir le rapport entre le retour à la vie du Christ et la chasse aux oeufs. Cependant il existe un vrai lien. Les chocolats de Pâques Entre symbolique païenne, tradition chrétienne et histoires pour enfants, voici l’origine des chocolats de Pâques. Pendant plusieurs siècles, les œufs de Pâques étaient de simples œufs de poules cuits, ornés de dessins ou colorés. Il a fallut attendre le 18e siècle pour que l’idée de remplir ces œufs de chocolat liquide prenne de l’ampleur, au fur et à mesure qu'évoluent les techniques de manipulation du chocolat. C’est l’apparition des moules qui donne naissance aux œufs en chocolat que nous dégustons tous aujourd’hui. Permettant de donner au chocolat la forme souhaité, ils ont suscité l'enthousiasme des confiseurs qui se sont empressés de faire de cette gourmandise un élément essentiel de Pâques. Dans l'excitation de cette innovation, la poule en chocolat a rejoint les tables de Pâques. Au fil des années, les chocolatiers ont contournés les règles établies pour proposer le chocolat de Pâques sous toutes ses formes : poules, lapins, œufs, cloches et autres sculptures à savourer, pour le plus grand plaisir des gourmands. Vous en savez maintenant un peu plus sur les origines, les traditions, et les chocolats de Pâques !

  • Fashion Week d’automne : la pâtisserie se compte au mètre !

    Alors que les passionnés de mode courent les défilés, les pâtissiers, eux, célèbrent la fashion Week en s’amusant à créer à leur manière des pâtisseries avec un mètre de couturier. Ce dernier, indispensable aux créateurs de mode, ne manque ici ni de crème ni de saveur ! Le défilé haute couture de la pâtisserie Inspiré et conçu comme un mètre de couturier qui se déroule comme un ruban sur la table, les pâtissiers Yannick Alléno et Sylvain Petrel, proposent un défilé de huit desserts irrésistiblement gourmands à partager. Ce concept rend hommage à la pâtisserie mais aussi à la couture. En effet, les desserts défilent aux couleurs et aux saveurs de la saison en cours mais aussi des envies du chef. Ainsi, pour ouvrir le bal automnal, le mètre pâtissier se compose d’une charlotte aux pommes croustillantes et caramélisées, de galets de poire servis avec de la glace vanille ou d’une meringue soufflée, d’un gâteau de Savoie, d’un blanc-manger et de fruits… Pour un automne à la fois festif et gourmand ! Christophe Michalak, styliste de la pâtisserie. Christophe Michalak est le pâtissier star qui est comparé à un créateur de mode à chaque innovation sucrée. Celui-ci a affirmé que « les saveurs se diffusent mieux en format XL ! » Pour le plus grand bonheur de notre gourmandise, il a ouvert une nouvelle boutique dans le Marais afin de séduire nos papilles avec des créations... au mètre ! Nous pouvons y retrouver ses gâteaux signature, des classiques de la pâtisserie française entièrement revisités, comme le mille-feuilles sur la tranche, son irrésistible Paris-Brest, sa divine tarte au citron, son incroyable baba ou sa démoniaque pavlova qui font tous en réalité 28 cm de long et peuvent régaler jusqu’à 8 personnes. Maxi format pour maxi plaisir !

  • Ustensiles essentiels pour commencer la pâtisserie

    Lorsque l’on débute en pâtisserie, et que l’on souhaite s’équiper, on se retrouve avec un grand nombre de produits divers et variés dans les rayons de pâtisserie. Entre les moules de différentes formes et matière, les multiples douilles à pâtisseries ou les spatules : on se retrouve vite perdu dans cet univers. Voici donc une liste du matériel à pâtisserie indispensable lorsque l’on commence à pâtisser ! Pour bien débuter en pâtisserie il va vous falloir divers ustensiles qui vous serviront dans quasiment toutes vos recettes : Des culs de poule Il est important d’en avoir 2 ou 3 pour pouvoir faire plusieurs préparations en même temps. L’idéal est d’opter pour des culs de poule en inox. Un fouet Cet ustensile permet d’émulsionner, de fouetter ou tout simplement de mélanger. Choisissez plutôt un fouet en Inox, il sera plus résistant et plus facile à nettoyer. Une maryse Il s’agit d’un ustensile qui vous permettra de racler, mélanger, étaler ou encore d’incorporer. Pour choisir votre maryse, le mieux, c’est que celle-ci ait une tête en silicone, qui sera plus souple, et permettra de mieux racler votre récipient. Une cuillère en bois Pour mélanger toutes vos préparations, la cuillère en bois est aussi pratique en pâtisserie qu’en cuisine, en avoir une est donc plus que nécessaire. Un rouleau à pâtisserie Pour tout simplement aplatir sa pâte, un bon rouleau est nécessaire. Une balance électronique C’est un probablement un des accessoires les plus indispensables en pâtisserie : la balance électronique (qu’on appelle aussi pèse ingrédient ou balance de cuisine). Elle vous permettra de peser facilement, rapidement et avec précision tous vos ingrédients. Un tamis Le tamis va nous servir à tamiser/passer les ingrédients en poudre pour éviter de faire des grumeaux dans nos préparations. Les moules à gâteau Les moules en silicone sont parfait pour les préparations de mousses, entremets et autres pâtisseries avec inserts. À l’inverse, les moules en métal sont, eux, parfait pour les cuissons ! Les moules indispensables sont : le moule à cake, le moule à muffins, et le moule à tarte. Un cercle à pâtisserie Il s’agit d’un cercle en inox permettant le montage de gâteaux, aussi appelés entremets. Les entremets sont des gâteaux ayant plusieurs couches (ou mets, d’où le nom « entre-mets »). À l’inverse du cercle à tarte, ce dernier possède généralement des bords assez haut et un grand diamètre lui permettant la confection de gros gâteaux. Il est aussi plus souple pour faciliter le démoulage. Poche à douille Ce petit ustensile qui sert à pocher des choux, décorer des gâteaux ou tout simplement garnir est indispensable au pâtissier. Privilégiez des poches à douilles jetables, c’est plus hygiéniques ! Ensuite pour les douilles, il est nécessaire d’avoir un grand choix pour obtenir des résultats différents et faire différents entremets. Un batteur électrique Bien que le fouet de cuisine soit bien pratique, un fouet électrique vous fera gagner du temps pour préparer une crème fouettée ou monter des blancs en neige. Le batteur électrique est très bien pour débuter en cuisine, et évite d’investir tout de suite dans un robot pâtissier. Un pinceau à pâtisserie Indispensable pour dorer la brioche ou la galette des rois. Cela permettra également le nappage de vos tartes et tartelettes. Le mieux est d'en prendre un avec des poils comme les pinceaux à bricolage par exemple. Le tapis de cuisson silicone Un indispensable pour ne pas utiliser de papier de cuisson. Le tapis de cuisson est idéal pour la cuisson de vos pâtisseries car les tapis silicone pâtisserie sont anti-adhésifs. Vous pourrez directement étaler votre pâte sur votre tapis de cuisson 40 x 30 xm. Où acheter votre matériel ? Voici quelques sites pour acheter vos ustensiles essentiels pour débuter la pâtisserie : Chez Mathon : https://www.mathon.fr/cat-patisserie Chez Cuisine Addict : https://www.cuisineaddict.com/acheter-ustensiles-patisserie-30.htm Vous pouvez aussi toujours en retrouver dans les magasins comme Zodio, ou votre hypermarché Carrefour, Hyper U, Leclerc, ou Amazon. J'espère que vous trouverez votre bonheur parmi le matériel proposé ! Dites-le moi en commentaires si ça vous plu et n'hésitez pas à partager votre expérience sur Instagram avec le #patisserieamatrice !

  • 10 pâtisseries parisiennes à absolument tester !

    Les pâtisseries parisiennes sont indéniablement le paradis des gourmands ! Vous les avez peut-être vus passer sur TikTok, si vous êtes parisiens, allez tester ces pâtisseries pour une petite pause gourmande. Vous n'en serez pas déçus ! Voici donc pour moi les 10 pâtisseries parisiennes à absolument tester : Besties Bakery Découvert sur TikTok, Besties Bakery, est une adorable boutique cachée dans le 5e arrondissement, à quelques mètres de la Seine. Dans une ambiance girly, Besties Bakery propose des donuts aux recettes originales, qui plairont aux petits comme aux grands. Si la boutique présente des donuts aussi gros que bons, elle a aussi des boissons à emporter et toujours sa gamme de box personnalisées pour les fêtes ! Tous les mois, 9 recettes de donuts insolites et exclusives sont à découvrir, vendus entre 3,5€ et 4€ selon la recette. Moelleux et bien gourmands, ils se dégustent avec un expresso, un café latte ou un chocolat chaud (à 2,8 euros s'il vous plait !). Avec son emplacement, Besties Bakery vise les étudiants car il fait s'aventurer dans cette petite allée. Mais le jeu en vaut la chandelle. À 21 euros la boite de 6 donuts, et 40 euros les 12, cela reste une bonne idée pour des fêtes d'anniversaire ou des goûters ! 10 Rue des Bernardins, 75005 Long & Tee Alerte insolite ! On vous a déniché l'un des salons de thé asiatiques les plus étonnants de la capitale ! On file du côté du 9ème arrondissement de Paris, sur la rue de Lafayette pour pousser les portes de Long & Tee, une bonne adresse gourmande à découvrir. Le moins qu'on puisse dire c'est qu'au menu de ce salon de thé chinois, la surprise est au rendez-vous ! Chez Long & Tee on est sur du 100% fait maison ! Pour les amateurs de bubble tea, on en profite pour tester des saveurs inédites dont la fleur de papillon bleu, ainsi que des thés fruités et des smoothies. Côté pâtisseries, la grande spécialité de Long & Tee, ce sont ses étonnants trompe-l'œil : un adorable chien ou un ours endormi ultra Kawaï se révèlent être en réalité une mousse au chocolat avec un coeur de fraise. On y retrouve même une version humoristique du cheesecake à la mangue sous forme de fromage. À côté, on peut retrouver des créations plus traditionnelles des salons de thé asiatiques, dont le fameux mille-crêpes qui se décline ici en version matcha, tiramisu, rose litchi, ou encore thé noir et fleur d'osmanthe, ainsi que des gâteaux de la lune sous différentes formes et des desserts Hong-kongais. Cerise sur le gâteau, on peut commander des créations insolites sur-mesure pour un anniversaire ! 39 Rue La Fayette, 75009 Pinky Bloom Alerte à la pépite insolite ! On t'a déniché une adresse canon qui fait autant plaisir à nos yeux que nos papilles. Direction le 16ème arrondissement de la capitale, non loin des quais de Seine, sur l'avenue de New-York. Au numéro 68, un spot fleuri attire le regard. Te voici devant Pinky Bloom, à la fois un salon de thé, un coffee-shop, un restaurant, et un bar à cocktail, cette adresse insolite porte bien son nom. Ici comme vous pouvez le voir, on vous fait voir la vie en rose : du plafond fleuri aux tables nacrées sans oublier les fauteuils de velours, c'est un véritable paradis pour les Instagram-addicts. Les gourmandises à la carte sont tout aussi bonnes que ravissantes. On nous a promis du rose jusque dans l'assiette, le pari est tenu ! Côté pâtisseries, Pinky Bloom te propose beaucoup de fruits rouges. Fraisier, choux praliné, mille-feuilles, tartelettes en tout genre ou encore des cupcake et des layer cakes jolis comme tout. Côté boissons, on se régale de smoothies gourmands et de lattes réconfortants. 68 Avenu de New York, 75016 Aux Merveilleux de Fred Aux Merveilleux de Fred, c'est cette pâtisserie artisanale qui a fleuri aux quatre coins de Paris. Dans ces adresses signées Frédéric Vaucamps, on découvre Le Merveilleux, cette spécialité belge qui se décline ici en plusieurs recettes, ainsi que des cramiques, des pains briochés au raisin, au chocolat ou au sucre. Cette pâtisserie remplie de douceur, dispose d'une dizaine d'adresses à Paris, et s'étend même jusqu'en petite couronne à Vincennes, Levallois-Perret et Boulogne Billancourt. Dans cette adresse signée Frédéric Vaucamps, la grande star c'est le merveilleux, une spécialité belge qui fait littéralement fondre les gourmands. Elle se compose traditionnellement de deux meringues, de crème chantilly, le tout roulé dans des copeaux de chocolat. Mais ici la recette se revisite à la façon de Fred. Le merveilleux se décline ainsi en différentes saveurs : spéculoos, café, praliné, chocolat noir, caramel et cerise. On en retrouve dans toutes les tailles : de la version mini, à l'individuel jusqu'à la version gâteau à partager (de 4 à 24 parts), il se déguste à toutes les occasions et s'adapte à toutes les envies. N’est-ce pas merveilleux ? 7 Rue de Tocqueville, 75017 29 Rue de l’Annonciation, 75016 129 bis Rue Saint-Charles, 75015 94 Rue Saint-Dominique, 75007 24 Rue du Pont Louis Philippe, 75004 2 Rue Monge, 75005 Dior Le Restaurant, affectueusement nommé Monsieur Dior, incarne l’art de vivre à la française, porté par la créativité de Jean Imbert, à la fois raffinée et généreuse, alliant la simplicité à l’élégance. Le chef français, accompagné de son fidèle collaborateur Antony Clémot, s’est inspiré de l’héritage et de l’histoire de la Maison pour élaborer chacun des menus. Une cuisine sublimée par des collections Dior Maison exclusives consacrées aux arts de la table, sublimé des mets classiques issus des recettes préférées du couturier-fondateur. Subtilement réinterprétés par Jean Imbert, les gâteaux français les plus emblématiques côtoient des créations originales réinventant les symboles Dior. Un chef barista, sélectionnant pour vous des cafés rares, est présent sur place pour prolonger ces instants de gourmandise, de la beauté du geste à l’art de la dégustation. Du petit déjeuner au tea time, ce lieu unique comblera toutes vos envies. 30 Avenue Montaigne, 75008 Angelina Paris Angélina est le plus célèbre des salons de thé parisien, avec son mythique chocolat chaud et le fameux mont-blanc, la spécialité de la maison (il s’en vend jusqu’à 600 par jour). Le salon de thé Angélina est « mondialement » connu pour son incroyable chocolat chaud (très épais et onctueux) et pour son gâteau à base de crème de marrons, le Mont-Blanc. Il est vrai qu’ils sont tous les deux excellents et inégalés. Le Mont-Blanc, c’est de la meringue associée à de la chantilly légère et des vermicelles de crème de marrons. Le Chocolat chaud baptisé « l’Africain », est composé de trois cacaos d’origines africaines : Niger, Ghana et Côte d’Ivoire et la recette reste secrète… On vient chez Angélina à toute heure de la journée, pour le petit déjeuner, le déjeuner ou le goûter. Le restaurant historique d’Angélina est celui des Tuileries (226 rue de Rivoli, 75001). Si possible, réservez, vous éviterez la queue. Dans Paris, de nouvelles adresses Angélina ont ouvert ces dernières années. Vous trouverez les salons de thé Angélina aux adresses suivantes à Paris : - 19 rue de Vaugirard, 75006 - Galeries Lafayette, 75009 - Au Palais des Congrès, 75016 Wonderland Direction la pâtisserie Wonderland de Rodolphe Groizard. Cet ancien chef d'un restaurant étoilé s'est pris de passion pour les trompe-l'œil et dédie sa pâtisserie-salon de thé à des créations originales aussi surprenantes visuellement que gustativement. Cactus, fauteuil, manège ou bien statue Moaï font partie de ses desserts qui vont faire ravage à votre table ! Vous goûterez bien un fauteuil ? Chez Wonderland, la question se pose fréquemment. Dans cette petite adresse de l'avenue du Maine, dans le 14e arrondissement, Rodolphe Groizard propose depuis 2019 de drôles de pâtisseries. Voilà donc une adresse à garder pour des pâtisseries qui en jettent, et un repaire pour aller prendre thé et café dans le 14e ! 208 Avenue du Maine, 75014 Le Meurice Un goûter gourmand signé Cédric Grolet ? Direction le tea time du Meurice, l'un des plus recherché de Paris. Servi tous les jours, c'est un rendez-vous incontournable pour les gourmands avec les fruits sculptés, les délicieuses pâtisseries et des scones à tomber. Un moment de plaisir qui vous fera oublier tous vos soucis le temps d'un après-midi ! Depuis 2013, Cédric Grolet régale les becs sucrés du monde entier au Meurice, rue de Rivoli à Paris. Avec ses fruits sculptés, ses pâtisseries revisités et ses douceurs toujours réinventées, le chef est vite devenu le Meilleur Pâtissier du monde en 2018, à seulement 33 ans. Si les desserts de Cédric Grolet se retrouvent dans les cartes des restaurants du Meurice, le moment de gourmandise ultime reste le tea time, ce goûter anglais fait d'un assortiment sucré et salé ! On reste émerveillés par la belle pomme de Cédric Grolet et la tarte à la vanille, qui font la renommée du chef. Beaucoup viennent du monde entier pour goûter ses bijoux, que l'on retrouve depuis mars dans la pâtisserie Cédric Grolet à emporter située sur le côté du Meurice, rue de Castiglione. Rien à dire, la pomme granny smith est un délice qui reprend exactement les saveurs du fruit frais, relevé par une pointe d'aneth, et la vanille ravira les fans de l'épice avec son côté délicat. 228 Rue de Rivoli, 75001 J'espère que les pâtisseries ci-dessus vous plairont si vous y allez ou du moins qu’elles vous auront donné l’eau à la bouche ! Dites-le moi en commentaires si ça vous plu et n'hésitez pas à partager votre expérience sur Instagram avec le #patisserieamatrice !

  • J’ai testé pour vous les Mochi

    Originaire du Japon, le mochi s’est très bien exporté et est aujourd’hui très populaire dans tout le bassin asiatique. Quelques boutiques comme la maison du Mochis se sont installées à Paris. Le mochi est une boule de pâte de riz gluant, fourrée avec une farce sucrée. Il se déguste frais (Mochi traditionnel) voire glacé (Mochi glacé) comme goûter ou dessert. Parmi les saveurs les plus fréquentes, on retrouve le thé vert, le sésame, le haricot rouge, la cacahuète ou encore la rose. Il y en a donc pour tous les goûts, à condition que l’on apprécie sa texture visqueuse que l’on retrouve très peu dans les pâtisseries européennes. J’ai eu l’occasion de goûter les Mochi traditionnels au yuzu, au matcha, au sésame noir et enfin à la rose. Tous les quatre étaient à la hauteur de mes espérances : bien moelleux et parfumés juste comme il faut. Ils étaient également très bons mais j'ai quand même eu un coup de coeur pour celui au sésame noir. J’ai également pu goûter des Mochi glacés : un mangue-passion, un yuzu-citron et un noisette. En les goutant, les saveurs de la glace maison vegan ont légèrement pris le pas sur la pâte de riz, au goût plus subtil. Les trois mochis étaient délicieux mais mon coup de coeur reste le mangue-passion. Frais et léger, les mochis glacés sont une bonne gourmandise à déguster en fin de repas. Le prix d'un Mochi : Pour avoir ce petit moment de plaisir, il faudra débourser pour les mochis traditionnels 3,50€ (à emporter) ou 4€ (sur place) et pour les Mochi glacés 3€ (à emporter) ou 3,50€ (sur place). Mon avis ? J'ai plus apprécié les Mochi glacés que les traditionnels. La composition de cette pâtisserie japonaise, entre le frais de la glace, la gourmandise du yuzu ou de la noisette, et la consistante. Je recommande à tous d’y gouté si vous avez l’occasion ! Voici les boutiques parisiennes : - 120 rue de Turenne, Paris 3e - 39 rue du Cherche-Midi, Paris 6e Sinon vous pouvez toujours commander une box de 8 Mochi traditionnels pour un prix de 28€, sur leur site internet officiel : https://www.maisondumochi.fr

  • Maud remporte la saison 10 du Meilleur Pâtissier : interview de la jeune candidate.

    À seulement 16 ans, Maud est la plus jeune candidate de l’histoire du « Meilleur Pâtissier ». Elle a remporté la finale de la saison 10 du concours de M6 face à Aya et Alexandre. Voici quelques questions que j’ai pu lui poser après la séance de dédicace de son livre à la Fnac des Halles à Paris. Comment as-tu réagis quand tu as gagné ? J’étais tellement heureuse de gagner que j’ai pleurer de joie, c’était une belle finale. Quand ils ont dit mon nom j’ai ressenti un mélange d’émotions car après avoir passé deux mois à faire des gâteaux, l’aventure était terminée. Ça a été une vraie explosion de joie parce que c’était incroyable. Il y avait les anciens candidats et ma famille autour de moi… c’était fou. Comment c’est passé le dernier jour du concours ? Pour ce dernier jour il y avait une ambiance différente de d’habitude, il y avait beaucoup de nostalgie car nous savions que c’était la fin du concours. Aya et Alexandre sont mes amis donc peu importe les résultats, nous aurions été content pour le gagnant. Les dégustations s’étaient bien passées et j’avais le pressentiment que ça pouvait être moi mais je n’en étais pas sûre. Pour la première épreuve, le thème «pull de Noël» ne m’inspirait pas trop. Finalement, comme j’étais motivée, ça s’est très bien passé et j’ai terminé première. Ensuite, pour l’épreuve technique de Mercotte, c'été vraiment une catastrophe, car j’étais fatiguée et je ne comprenais rien à la recette. Pour la dernière épreuve, j’ai eu une énergie incroyable, je savais que tout allait se jouer maintenant. J’avais très peu dormi mais je me suis dit: «Si tu ne donnes pas tout maintenant, tu vas le regretter toute ta vie». J’avais un beau projet : un sapin de 80 centimètres de haut en pièce montée avec 200 macarons, sans compter le gâteau. Les jurés et Christophe Michalak m’avaient fait de bons commentaires donc j’avais de l’espoir, mais je ne voulais pas me dire que j’avais gagné pour ne pas être déçue. Comment as-tu vécu cette aventure ? À la télévision, on peut avoir l’impression que j’ai confiance en moi et en mes gâteaux, parce que j’essaye de me convaincre moi-même, alors qu’en réalité, je passais mes nuits à me remettre en question. Pendant deux mois, en plus d’être fatiguée parce qu’on ne dort pas beaucoup, il y a aussi la fatigue intellectuelle. Je réfléchissais tout le temps à ce que je pouvais faire. Et finalement, ça a fonctionné et ça m’a mené jusqu’à la victoire. Remporter «Le Meilleur pâtissier» à 16 ans, franchement c’est incroyable, et même improbable pour moi ! Si on m’avait dit ça il y a deux ans, jamais je ne l’aurais cru car je commençais à peine la pâtisserie… Mais aujourd’hui j’ai beaucoup de fierté. Pourquoi tu t’es inscrite à l’émission ? J’avais ouvert un compte Instagram où je postais mes gâteaux et j’ai reçu un message d’une personne qui s’occupait du casting du « Meilleur pâtissier » et elle me proposait d’y participer. Au début j’ai vraiment cru à une blague ! On a donc prit un moment pour se rencontrer et elle m’a demandé de venir avec un ou deux gâteaux et une petite vidéo de moi. Quand j'ai passé le casting, j'ai tout fait pour être prise, mais ça me paraissait impossible. À ce moment je n’avais pas encore 16 ans, l’âge minimum pour participer, mais heureusement, je les fêtais la semaine suivante. C’est comme ça que tout a commencé. Ensuite, tout s’est enchaîné très vite et je me suis retrouvée sous la tente du « Meilleur Pâtissier ». Le premier jour, j’ai vu les autres candidats, ils avaient l’air hyper doués, je me suis dit demandé ce que je faisais là… Qu’est-ce que ça t’a apporté ? L’émission m’a fait grandir sur pas mal de choses, notamment concernant la pression et le stresse. Même si le concours est bienveillant c’est quand même hyper stressant tout le temps. On doit toujours être à la hauteur et puis on passe aussi à la télé. Au début, dès que je n’arrivait pas ou que je ratais un gâteau, je pleurais et m’énervais sur moi-même. Au fur et à mesure du concours, je gérais de mieux en mieux. Je pense que le fait d’avoir participer à ce concours va m’aider dans ma vie à gérer mes émotions. Comment est né cette passion pour la pâtisserie ? Il y a 2 ans, lors de la saison 8, je regardais l’émission et j’étais étonnée de voir que des amateurs puissent faire d‘aussi beaux gâteaux. Je me suis dit que je pouvais aussi y arriver. J’ai donc essayé de faire un royal au chocolat, j’ai réussi et j’étais super fière de moi. Après j’en ai testé de faire un deuxième gâteau puis un troisième. Puis après j’aimais bien me lancer des challenges et essayer de nouvelles techniques, des trucs un peu durs que d’habitude. À 16 ans on est encore au lycée, comment as-tu concilier les cours et les tournages ? Je suis allée voir ma proviseur pour lui expliquer la situation, que c’était une opportunité pour moi mais que j’allais devoir rater les cours. Comme j’avais de bonnes notes, elle a accepté à condition que je rattrape tout pendant les grandes vacances. Comment tes profs et tes camarades ont réagi quand ils t’ont vu à la télé ? Au lycée, ça se passe très bien. Mes camarades regardent l’émission et me soutiennent. Et surtout, on en rigole. C'est drôle de se dire : "Ah, ma voisine de maths, le jeudi soir elle est à la télé" ! Je suis contente car l'émission n'a pas trop changé les choses à ce niveau-là. Ça m'arrive qu'on me reconnaisse dans la rue, ça c'est étonnant. Et sur mes réseaux sociaux, globalement, les gens sont bienveillants. Le plus dur, c'est que je reçois beaucoup de propositions dans l'univers de la pâtisserie que j'ai envie d'accepter, mais le lycée me prend trop de temps. Aimerais-tu en faire ton métier ? C’est ma passion donc je me suis posé la question mais ce n’est pas trop dans mon projet. Mais je ne me suis pas encore décidée. Forcément, d’avoir remporté «Le Meilleur Pâtissier» change les choses et je me pose encore plus de questions, mais je sais que le métier de pâtissier, ce n’est pas pareil que de faire des gâteaux à la télévision. Dans tous les cas, ce sera après le bac et j'aimerais faire des études supérieures. Mais même avant l'émission, la pâtisserie prenait beaucoup de place dans ma vie, et j'ai de plus en plus d'opportunités. J'ai déjà des collaborations qui sont en cours pour vendre un de mes gâteaux en boutique de certaines pâtisseries. J'ai également ouvert mon site internet, sans oublier le contenu que je poste sur mes réseaux sociaux. Et pourquoi pas peut-être proposer des petites masterclass… As-tu gardé contact avec des personnes de l’émission ? Cyril Lignac est hyper gentil. Je garde un très bon souvenir de Mercotte. Je l'admire, car elle est juste et très honnête. C'est l'une des femmes les plus franches que j'ai rencontrées. Donc quand elle nous fait un compliment, forcément, on le prend à cœur. Ses mots après ma victoire m'ont beaucoup touchée. Marie Portolano est une belle rencontre. Elle est gentille, drôle, elle nous soutenait beaucoup. Ce sont des personnes que j’aime beaucoup. J'ai gardé contact avec beaucoup de candidats, mais évidemment j’ai plus d'affinités avec les autres finalistes, Aya et Alexandre. Forcément, car on a vécu toute l'aventure ensemble. Il y a Paul-Henri avec qui je m'entendais très bien, et Jérémy que je vois régulièrement. Que représente ton livre pour toi ? Mon livre est vraiment mon plus gros succès, c’est la concrétisation du concours. Quand je l’ai écrit, mon but était que tout le monde y trouve son bonheur. Il y a d'abord des recettes vraiment simples que tout le monde peut faire comme des cookies et des madeleines, avec toujours ma touche personnelle, bien sûr. Il y a ensuite des gâteaux un peu plus compliqués mais accessibles comme des tartes, et j'ai terminé par des entremets pour les gens avec un niveau plus avancé, avec notamment celui que j'ai fait lors de la finale. J'ai aussi mis des classiques revisités, car l'épreuve de Cyril Lignac était ma préférée dans le concours.

  • Mousse au chocolat Paul Bocuse

    Niveau : facile Coût : € Préparation : 15 minutes Cuisson : 10 minutes Repos : 2 heures Un nuage, une mousse au chocolat… Quel est la différence ? Avec cette recette du grand chef Paul Bocuse, faites un dessert maison facile et rapide en seulement 4 étapes. Parfait quand on à pas le temps et quand même régaler ses convives. Ingrédients de la mousse au chocolat Pour 4 personnes : 125g Chocolat noir 50g Sucre en poudre 30g Beurre 4 Œufs Réalisation du nuage chocolaté : Penser à sortir beurre et les oeufs du réfrigérateur au moins 1h avant la préparation de la mousse au chocolat. Préparer un bain-marie : dans une casserole à moitié remplie d’eau placée sur une source de chaleur, poser le récipient destiné à confectionner la mousse. Dans ce récipient, mettre le beurre et le chocolat coupé en petits carrés, faire fondre tout en remuant avec une cuillère en bois. À mesure que la pâte fond, ajouter le sucre et remuer jusqu’à ce que vous obteniez une pâte lisse. Enlever le récipient du bain-marie. Laisser légèrement refroidir cette préparation, puis ajouter les jaunes d’oeufs en remuant avec la cuillère en bois. Mettre les blancs dans un autre récipient et les monter en neige assez ferme. Incorporer les blancs montés à la préparation en 2 ou 3 fois, en la soulevant et surtout sans tourner, car il ne faut pas briser la neige des oeufs et les faire retomber en eau. Une fois terminée, mettre la mousse au réfrigérateur au moins 2h. La mousse idéale se fait la veille. J'espère que ce nuage chocolaté vous aura fait fondre de plaisir ! Dites-le moi en commentaires si ça vous a plu et n'hésitez pas à partager le résultat sur Instagram avec le #patisserieamatrice !

  • Salon de la Pâtisserie Paris 2022

    Gourmandes et gourmands, attention à vous ! Le salon de la pâtisserie 2022 arrive pour sa 4e édition, alors gare à vos papilles ! Ce salon propose un large programme d’ateliers animés par des chefs invités. Plus de 100 Master Class, conférences, démonstrations et dégustations animées par de Grands Chefs vous attendent. Venez donc découvrir et déguster de nombreuses pâtisseries de grands professionnels comme Laurent Duchêne, Fauchon, ou bien encore Pierre Hermé. Assistez ou participez à 2 Concours professionnels, et 3 concours amateurs. Durant ce week-end, retrouvez au salon de la pâtisserie, 38 cours de 2h de Pâtisserie sur des recettes et techniques particulières donnés pour 12 élèves. Prêts à en prendre pleins les papilles ? Alors rendez-vous du 17 au 20 Juin 2022 au Parc des Expositions à Paris Porte de Versailles pour le salon de la pâtisserie. Venez découvrir 7 univers savoureux et interactifs sur 6 000 m2 d'exposition... Un rendez-vous à ne manquer sous aucun prétexte ! Réservez vos billets dès maintenant sur le site officiel du salon de la pâtisserie : https://www.lesalondelapatisserie.fr/billetterie Important : Pour le concours amateur et les cours de pâtisserie, pensez à réserver en avance sur le site officiel car les places sont limités ! Tarifs d'entrée au salon : Afin d'éviter l'attente aux caisses, pensez à acheter vos billets à l'avance. Vous bénéficierez de tarif préférentiel de 14€. Si vous achetez votre billet sur place, 1€ sera reversé à l'association Les Bonnes Fées.

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